Voici le récit direct de Guillaume en audio :
La femme est auréolée d’or.
Elle a mis son plus beau vêtement.
Elle rit. Elle sourit à la vie qui s’égrène.
Elle secoue son corps de Déesse.
Le temps a terni son image, gâché sa vie.
Elle a été persécutée, torturée, délaissée.
Elle puise en son for intérieur une grande sagesse, celle du cœur.
Elle est attendrissante, aimante.
Elle reçoit les énergies divines, les canalisent.
Elle sourit. En son cœur réside une force incommensurable,
la force de l’Amour, celle qui pardonne, donne, reçoit.
La femme blessée, outragée, humiliée, pleure, se scandalise,
se révolte, ou se soumet.
Le trésor n’est pas si loin, le trésor qui délivre, qui apaise.
La femme est une Déesse, elle l’oublie parfois.
Quand son regard plonge à l’intérieur, dans ses entrailles,
elle devient grandiose.
La femme pleure son destin déchu.
Fini la lutte. Inutile de résister.
L’appel de l’Âme est le plus fort. L’Âme réconcilie, pardonne,
ne juge pas.
Elle accueille dans sa lumière toutes les imperfections.
La Femme éclaire le monde.
Qu’elle nous fasse partager sa vérité, sa sensibilité, sa sagesse.
Qu’elle nous ouvre les yeux sur notre voie intérieure,
qu’elle nous ouvre à l’Amour.
Toutes les femmes du monde se tiennent la main, sourient, dansent.
Elles transmutent les mémoires de peine, de viol, d’abus, de violence.
Elles secouent ces vieux fardeaux et les transmutent en un feu de joie,
un feu purificateur, un phare qui nous transperce par sa grâce et son allégresse.
Bénie soit la Femme.
Poésie intuitive écrit par Guillaume Putrich
le 8 mars 2014 pour la journée de la Femme
Bravo Guillaume pour ce très beau texte et bravo aussi à Anneliese de te l’avoir inspirée….
Biz à vous deux
une merveille de vérité !
tu touches Guillaume par tes mots mon âme . je ressens ta femme intérieure , ta déesse , celle qui accompagne au quotidien l ‘homme inspiré que tu es . bravo ! l’inspiration, la connexion á la lumière nous rappelle qui nous sommes dans notre globalité et grâce á ta sensibilité que tu laisses épanouir tu nous offres une douche de lumière afin de laisser éclore notre parfum de femme au plus grand bonheur de notre Esprit divin et déposer la trinité sur terre , pour l’amour de notre prochain.merci Guillaume et , vive la journée de la femme ! je t’embrasse sans oublier notre chère Anneliese.
Retour envoyé par Corine :
BRAVO GUILLAUME !
je suis transportée par tes mots et me sens grandir au travers d’eux- quel magnifique poème !
MERCI A TOI
Retour envoyé par Pascale :
Bonsoir Anneliese,
Une chose est sûre: Guillaume est bel et bien “habité” par la Déesse… Quel talent! C’est tellement beau de voir un homme s’exprimer de la sorte 🙂
Ce qui m’a inspirée donc ceci:
“Dans la lune qui luit
Sans un mot, sans un bruit
Elle éclaire les nuits
Les plus noires de nos vies
Et s’efface au matin
Dans son voile de satin
Nous laissant en son sein
La blancheur de son teint
De si noble Dame,
Elle, la Flamme….
A la source qui jaillit
Et jamais ne tarit
L’eau de nos pluies
Dans la Terre qu’elle nourrit
Et lave à la fin
De tout être humain
Le sombre dessein
En passant à sa main
Une si grande Bague
Elle, la Vague….
J’ai la Femme à l’âme
La Vague à larme
La Flamme à l’arme
Si blanche…
Fait-moi fée
Fait-moi Yin
Féminine…
… Et rends-les beaux
T’es Divine!”
Belle soirée et à bientôt,
Pascale